Alexis Bachelay, colombien et engagé pour ma ville

Pour rester à Colombes, Olé Bodega lance un appel aux membres du conseil municipal

Déjà 4500 logements en 5 ans, un bétonnage sans précédent en cours à Colombes !!

Depuis 5 ans, la commune de Colombes s'est engagée dans un processus de densification urbaine à marche forcée !

Déjà 4500 logements ont été engagés ou programmés soit plus de 80 programmes immobiliers d'envergure ! A 90% des logements libres, à des prix de vente ou des loyers inacessibles pour les Colombiens. Et sans aucune prise en compte de l'écologie, sans aucune concertation, ni consultation des habitants.

De plus en plus d'habitants subissent directement ou indirectement les conséquences de ces chantiers multiples et de cette urbanisation non-maîtrisée : nuisances sonores, circulation bloquée, pavillons expropriés et détruits, espaces verts supprimés... la liste s'allonge de mois en mois !

En quelques années, ce sont près de 10000 habitants qui vont être installés... à l'échelle de notre commune, c'est un séisme démographique sans précédent.

Mais rien n'est définitif. Un collectif citoyen a commencé à alerter les habitants depuis quelques mois. Ceux ci se mobilisent et organisent des débats dans les quartiers de la ville. Jeudi prochain le collectif se réunira dans le secteur Agent Sarre - Hoche.

Sauvons l'aide aux devoirs à Colombes !

Le Parisien 26 juin 2018

Parents, élèves et enseignants protestent contre la décision de la mairie (LR) de stopper à la rentrée le dispositif d’accompagnement à la scolarité du Bureau Information Jeunesse.

« Après 21 années d’existence, il est important de sauver ce dispositif qui a aidé des milliers de jeunes. » C’est le leitmotiv des enseignants du Bureau Information Jeunesse (BIJ) qui ont décidé de se rassembler, avec leurs élèves et leurs parents ce mardi soir devant l’hôtel de Colombes, juste avant le conseil municipal.

Une heure trente de cours de soutien était proposée dans différentes matières aux élèves de la sixième à la terminale les lundi, mardi, jeudi et vendredi soir. Prix : entre 20 € à 96 € le trimestre, selon le coefficient familial. Mais la mairie (LR) a récemment annoncé qu’elle mettait fin au dispositif à la prochaine rentrée parce que les cours étaient redondants avec ceux fournis par les trois centres sociaux et culturels répartis dans la ville, avec le dispositif « devoirs faits » dans les collèges, à partir de septembre 2018, et un soutien scolaire gratuit en ligne mis en place par le conseil départemental.

Selon la CAF, la ville n’a pas demandé de subventions

Elle avançait aussi une raison financière. « Nous avons perdu 40 000 € de subventions de la Caisse d’allocations familiales sur un coût total pour la ville de 130 000 € ». Un argument réfuté en bloc par le directeur adjoint de la CAF des Hauts-de-Seine lui-même : « Depuis mars, mes collaborateurs ont sollicité Colombes, comme les autres villes, pour obtenir les justificatifs qui permettent d’attribuer les subventions, tient à préciser Fred Latour. Mais malgré nos relances, la ville n’a jamais rempli son dossier. Si le dossier avait été renouvelé, les subventions auraient été attribuées comme chaque année. »

La jeunesse encore sacrifiée à Colombes. La mairie annonce la fin du dispositif d’aide aux devoirs pour 270 enfants !!!

Une décision très grave vient d’être annoncée par courrier à 230 familles : la mairie de Colombes décide d’arrêter le dispositif d’aide aux devoirs du BIJ (bureau information jeunesse). Sans motif valable.

 

Le dispositif d’accompagnement à la scolarité est un dispositif d’ampleur, de qualité mis en œuvre depuis près de vingt ans pour aider les jeunes de Colombes. 

 

Les soirs, à Colombes, dans les différents quartiers de la ville, à proximité des jeunes se déroulent des cours d’aide aux devoirs et de soutien scolaire pour les collégiens ainsi que pour les lycéens en français, mathématiques, anglais, physique-chimie et philosophie avec des professeurs qualifiés et motivés. 

Les élèves en difficulté ont un lieu pour progresser et ce lieu aide particulièrement les familles qui n’ont pas les moyens de payer des cours particuliers. 

 

Il y a un suivi attentif des élèves qui progressent tout au long de l’année. Ces suivis intensifs et ces cours sont le lieu de leçons ou d’exercices qui ont un seul but : la réussite des élèves. 

 

Des enseignants œuvrent pour la réussite de ces jeunes qui, sans ces cours, sans les professeurs qu’ils côtoient toutes les semaines de l’année au BIJ, n’ont pas de lieu pour être soutenu avec autant de rigueur, de soin, d’excellence. 

 

C’est un dispositif qui a une utilité publique, son action est forte, ses effet immédiats. 

 

La mairie ferme le dispositif du BIJ et met en avant des dispositifs qui sont inefficaces, qui n’ont pas le même impact que celui du BIJ ou encore pas du tout la même politique.

Ce sont des concepts tout à fait différents et le BIJ reste irremplaçable. Irremplaçable parce que le dispositif dont je fais la brève description est un dispositif très implanté, fort de vingt années de maturité, soutenu par une équipe d’intervenants fidèle et apprécié des jeunes et des familles.

 

Nous apportons notre soutien aux enseignants et aux familles qui vont subir de pleins fouets cette décision inique et Brutale !

 

C’est une décision  politique qui accentue un virage à Colombes : la jeunesse et la réussite éducative ne sont plus des priorités pour la municipalité, qui chaque année réduit les budgets !

 

 

Ci-dessous la lettre de monsieur Perrotel et madame Montcomble annonçant la fin de l’accompagnement à la scolarité aux familles ! Nous condamnons cette décision scélérate et nous la combattrons. L’avenir de nos jeunes devraient passer par dessus les impératifs budgétaires d’une mairie qui abaisse tous les services publics sans aucune exception !

Intervention au conseil municipal contre le bétonnage méthodique orchestré par la mairie !

Stationnement : la municipalité doit suspendre l'expérience hasardeuse des zones bleues. En conseil municipal le 8 février nous avions voté contre cettre décision mal préparée !

Halte au bétonnage de Colombes, explication de vote en conseil municipal février 2018

Halte au bétonnage de Colombes, explication de vote en conseil municipal février 2018

Tribune dans Colombes le Mag : O % de hausse d'impôts, vraiment ?

Depuis le mois de janvier, sur tous les panneaux officiels de la ville, un 0 % s’affiche avec arrogance, alors même que le vote du budget n'a eu lieu que le 22 mars dernier… Que cache cette communication tapageuse autour d'une prétendue non-hausse des impôts ? EN Réalité, un coût élevé pour les habitants, celui d'un affaiblissement sans précédent du service public local, la dégradation des équipements publics et le renchérissement des services rendus aux habitants, quand ils ne sont pas  purement et simplement privatisés :

- Fermeture de la salle de sport de l’Ile Marante, le Centre Municipal de Santé et la Maison pour l’emploi

- Suppression de postes dans les écoles, les centres de loisirs, l’entretien des bâtiments (- 15 % des effectifs en 4 ans, plus de 250 postes supprimés) 

- Privatisation de l’entretien des bâtiments scolaires et probablement bientôt des accueils de loisirs

- Ponction sur le budget des familles avec des hausses tarifaires, des seuils du quotient familial modifiés, des pénalités inutiles, les  activités périscolaires, crèches privatisées etc..

A cela il faut ajouter l'Absence de résultats sur la sécurité, la propreté et le stationnement (sauf le nombre  de PV qui a explosé ainsi que l'amende qui est passée de 17 à 30 euros.

Dans ces conditions, communiquer sur la non-augmentation des impôts est indécent vis-à-vis des familles qui ont subi ces mesures d’imposition indirecte (qui représentent 700 000 euros de plus par an !). Rappelons que 600 000 € c’est l’équivalent d’une augmentation des impôts de près de 2 %.

 

A cela s’ajoutent des choix catastrophiques en matière d’aménagement avec l'objectif de gommer ce qui fait que Colombes est telle que nous l’aimons : riche de sa mixité sociale, de sa diversité urbaine et fonctionnelle. Une ville qui dans son passé récent a refusé de subir le diktat des promoteurs privés, pour protéger ses trésors patrimoniaux, son poumon sa zone pavillonnaire et son habitat social. Ce budget 2018, c’est une ville qui tourne le dos à son identité pour devenir comme d’autres, hyperbétonnée, hyperdensifiée, sans âme !

 

 

Intervention au conseil municipal de 22 mars 2018 sur le vote du budget

Nous arrivons au terme de quatre années de votre gestion, et nous voilà au vote d’une budget que l’on pourrait qualifier de charnière vers la fin attendue de votre mandat.

C’est l’occasion de faire le point d’étape sur l’avancement de vos projets. Mais en lisant votre budget nous sommes restés sur notre faim.

TECHNIQUEMENT vous nous présentez un budget qui essaye de faire bonne figures. Le rappel des contraintes réelles ou supposées, ne peut dissimuler une absence de vision globale pour notre ville. Si votre mandature était un film éponyme, on l’intitulerait grands reniements et petites cachoteries.

Reniement par rapport à vos promesses de campagne, reconnaissons que ce n’est pas facile d’avoir été élue en faisant des additions de promesses et puis durant tout son mandat de faire des soustractions, en décevant celles et ceux qui ont crû à vos engagements de campagne.

Prenons le stationnement, la salle de sport de l’Ile Marante, la fermeture du CMS, les fermetures d’équipements, les suppressions de postes etc.. Vous avez pris le chemin inverse de vos promesses.

Les cachoteries, ce sont la sécurité ou la propreté, où la déception est au rendez-vous et l’ absence de résultats flagrants

Et puis il y a le tabou de l’aménagement dont la finalité est la remise en cause des équilibres qui fondent l’identité de la ville, j’y reviendrai, plus tard.

Faute d’assumer vos choix madame le Maire d’une ville de 85 000 habitants, très bientôt 90000 et si on vous laisse faire 100000, vous endossez le rôle du super comptable, oubliant que vous avez été élue sur une programme. Si on croit à ce qui est écrit dans votre budget, chaque année vous vous améliorez dans tous les domaines. L’autosatisfécit tient lieu de bilan.

Quelques remarques sur les dépenses de fonctionnement qui continuent de baisser et pas seulement en raison des transferts de compétences.

Par exemple la fermeture sèche du CMS devient transformation du CMS en maison de santé, magie du verbe et belle réécriture de l’histoire. Ce n’est pas vous qu’il faut féliciter mais le docteur SEIF et son équipe. Autre petites contre-vérités distillées dans votre dernière tribune du Colombes mag.

Vous mettez en exergue la privatisation généralisée de l’entretien des bâtiments scolaires 700000 euros d’économie. Très bien mais vous savez que dans les écoles il y a beaucoup de retour d’expérience négatif suite à cette privatisation. Envisagez vous une évaluation autre que budgétaire ?

Certaines économies semblent plutôt relever de l’exercice de communication ainsi 20000 euros économisés sur un parc de 200 véhicules cela semble bien peu. Peu comparé aux efforts demandés au personnel communal qui est la principale variable d’ajustement des dépenses de fonctionnement.

« Techniquement », dans un contexte de contrainte sur la fiscalité locale et les dotations de l’Etat, votre budget assume et revendique la baisse drastique des frais de personnel. Parlons-en un instant car c’est peu développé dans votre présentation.

SUR le personnel et les services municipaux , depuis que vous êtes Maire, ce sont plus de 250 équivalents-temps plein supprimés. Le secteur animation, encadrement des centres de loisir a supporté à lui seul 110 suppressions de postes temps plein sur le seul secteur de l’animation et de l’encadrement des centres de loisirs (les animateurs étaient 370 début 2014, il en reste désormais moins de 250. Mais c’’est encore trop pour vous puisque vous envisagez carrément de transférer au privé les accueils de loisirs, comme vous nous l’avez confirmé lors du dernier conseil municipal,

Avec aussi les suppressions sur les emplois techniques, sur les emplois d’entretien. Ce sont près de 15 % des emplois municipaux qui ont été supprimés en 4 ans. 

C’est considérable. Et après on s’étonnera des trous dans la voirie, des équipements peu ou pas entretenu, des personnels non remplacés dans les écoles.

Je vais m’arrêter un instant sur l’état de la voirie colombienne.

A propos de travaux, je ne sais pas si madame le Maire circule dans Colombes de temps en temps. Elle devrait car elle se rendrait peut-être compte du mauvais état de la voirie communale ! Et elle demanderait à Monsieur Pique pourquoi il laisse à ce point de dégradation la voirie communale. Monsieur Pique a t-il conscience de cela. Ou bien comme pour les nuisances sonores de l’école Simone Veil, il va faire la sourde oreille ? a t’il demandé, votre adjoint, une rallonge budgétaire pour rétablir la qualité du réseau encore plus fortement entamé par le froid et la neige ? J’ai comme un doute. Au contraire les budgets de ce service sont à la baisse depuis 4 ans et figurez vous que cela commence à se voir !

Sur les recettes, vous maintenez le dogme du 0% d’impôt

Depuis 2001 , on a alterné les hausses et les baisses d’impôts à Colombes. Vous détenez quand même la palme de la hausse d’impôts la plus forte sous votre premier mandat. Et malheureusement pour vous, les contribuables ont tendance à l’amnésie sur les baisses. C’est pourquoi vous insistez autant sur le 0%, finalement ce sera peut-etre le seul engagement tenu de toute votre mandature. On comprend fort bien votre envie de le faire savoir adnauséam.  à quel prix avez vous maintenu ce dogme? Je l’ai décrit juste auparavant, au prix de la dégradations du service rendu. Mais aussi par une politique pernicieuse d’impôts déguisés

Car il n’est pas juste de dire que les impôts n’augmentent pas, et il est totalement faux d’écrire, comme vous le faites dans votre rapport, que les tarifs ne sont pas revalorisés.

Les familles, comme nous l’avions dénoncé, ont été fortement ponctionnées depuis votre élection il y a 4 ans. Et ça continue. Mais vous écrivez quand même que « soucieuse de soutenir au quotidien les familles colombiennes, la ville n’a pas augmenté ses impôts et a maintenu à l’identique ses tarifs etc. Rappelons que c’est la ville qui a instauré les TAP payant avec la mise en place d’un tarif élevé qui a mis en difficulté les parents.

Rappelons création sans aucun effet d’annonce de nouvelles tranches du quotient familial et la modification des seuils se sont opérés à charge et ont conduit à faire basculer de nombreuses familles dans une tranche supérieure.

Rappelons les hausses tarifaires du soutien scolaire, des centres de loisirs sportifs, la fin de la piscine à un euro et toutes les associations qui ont dû augmenter leurs cotisations pour supporter des baisses de subvention ,,

Communiquer comme vous le faites sur la non- augmentation des impôts est indécent vis à vis des familles qui ont subi et parfois cumulé toutes ces hausses. Le résultat de ces mesures d’imposition indirecte est calculable depuis 2014 avec 500 000 à 700 000 € de recettes en provenance des familles en moyenne chaque année. 

C’est la conséquence directe de votre politique tarifaire.

Rappelons que 600 000 € c’est l’équivalent d’une augmentation des impôts de près de 2 %.

 

Faire un bilan de vos 4 premières années .en matière d’investissementC’est rappeler qu’avant d’investir, vous avez fermé des équipements utiles aux Colombiens sans mettre en place de solutions alternatives,  je pense :
- la fermeture du centre de santé,sera partiellement compensé en offre de soins par la future maison de santé mais ce n’est pas grâce à vous. 
- fermeture de l’Espace des quatre chemins, 
- fermeture de deux mairies de quartier, 
- fermeture de la maison pour l’emploiOui c’est bien d’ouvrir des crèches, essentiellement privées donc plus chères, mais nous pensons avec par exemple avec les familles que votre autosatisfaction sur les crèches et sur les écoles est décalé par rapport à la réalité. Soyons sérieux. Combien de colombiens ayant fait une demande n’ont pas et n’auront pas de places en crèche ? ça vous ne vous en vanterez pas 4 sur 5 Combien d’écoles surchargées, combien de travaux sont reportés ? L’extension de Maintenon est attendue depuis 4 longues années, et combien d’écoles encore en attente de travaux ? Et surtout vos investissements apparaissent bien faible en regard du nombre de constructions engagées.

Enfin cerise sur ce gâteau indigeste votre politique de développement urbain tous azimuts avec 95 % de logements inaccessibles pour les Colombiens. 

Dans le Parisien il y a 48 heures vous expliquez que la construction n’est pas maîtrisée et que vous n’avez pas d’autres choix que de laisser la ville aux promoteurs avec des opérations trop chères pour les Colombiens. C’est comme si une calamité qui s’abattait sur la ville dont vous êtes incapables de protéger les habitants. Soit vous ne pouvez pas et alors faites autre chose, soit vous ne voulez pas, alors vous êtes complices de ce bétonnage massif qui irrite un nombre croissant d’habitants.

Il n’y a plus sur Colombes de logements à coûts maîtrisés et c’est votre faute. 

Vous ne construisez plus de logements sociaux accessibles, autres que ceux que nous avions programmés. 

 
Bref vous menez une politique du logement qui exclut le plus grand nombre des Colombiens et qui va dégrader la qualité de vie du plus grand nombre. Et en plus, vous recevez au compte-goutte les colombiens qui viennent vous demander des comptes. C’est bien plus long pour un demandeur de logements colombiens d’obtenir un rendez-vous avec madame Coblenz, que pour un promoteur d’obtenir un permis de construire !À l’heure où les citoyens en appellent à la transparence, à la responsabilité des élus et de l’action publique, il n’est ni juste ni sérieux de faire croire que vous n’êtes jamais responsable de rien ou bien de feindre l’impuissance car ça n’est pas crédible.Depuis 4 ans, vous n’avez pour seul objectif que celui de gommer ce qui fait que Colombes est Colombes. Et que nous l’aimons ainsi. Une ville riche de sa mixité et de sa diversité sociale, urbaine, culturelle. Une ville qui dans le passé a refusé de subir le diktat des promoteurs privés pour protéger son trésor, son poumon, sa zone pavillonnaire. Un ville qui a investit dans l’habitat social pour accueillir des populations modestes et des classes moyennes qui sinon sont chassés vers le Val d’Oise ou plus loin ! C’est cela votre budget, une ville qui tourne le dos à son passé, à son histoire pour devenir comme d’ autres, bétonnée, défigurée, sans âme !

 Un mot encore et j’en termine, sur nos priorités qui sont aux antipodes des votres

Nous voulons préserver l équilibre entre la zone pavillonnaire, l’habitat social et le résidentiel privé que vous être en train de rompre brutalement !

Nous voulons réhabiliter les services publics locaux que vous avez mis à mal, soit en les faisant disparaître, soit en les privatisant morceaux par morceaux !

Nous voulons rétablir l’attractivité économique de Colombes pour recréer des emplois dans notre ville et préserver un équilibre salariés – habitants que vous mettez à pas avec votre bétonnage massif et votre parti pris tout logement privé et spéculatif.

Nous voulons anticiper et accompagner des projets ou évènements qui peuvent être brutaux si nous n’y prenons pas garde : arrivée du  Tramway T1, JO 2024 et un peu plus tard métro du grand Paris en font partie. Sans oublier la nécessité de poursuivre la rénovation de nos quartiers avec l’ANRU et de préserver notre patrimoine architectural et culturel

Enfin, il faudrait engager de nouvelles actions, d’éducation, de culture, de jeunesse, de dévelopement durable qui manquent cruellement dans votre budget. Un budget que nous ne voterons car nous nous opposons à vos choix et à l’avenir que vous préparez pour Colombes, Nous défendons Colombes et donc nous votons contre votre budget qui fragilise l’avenir de Colombes.